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    Le ministre de l'Education nationale Xavier Darcos vient tout juste d'annoncer sa décision de reporter l'entrée en vigueur de la réforme de la classe de seconde, souhaitant "prolonger les discussions" sur ce dossier. C'est donc un vrai recul, et - nous le supposons - , un report dicté par le risque d'une colère lycéenne incontrôlable. Le ministre a annulé en conséquence la conférence de presse prévue mardi au cours de laquelle il devait détailler la nouvelle seconde.

     

    voici la dépêche de l'AFP que la FCPE Montigny vient de trouver en ligne:


    "Xavier Darcos a décidé de laisser plus de temps pour la mise en oeuvre de la réforme de la classe de seconde initialement prévue à la rentrée 2009 dans le cadre de la réforme du lycée", écrit le ministre dans un communiqué, qui ne précise pas si la réforme est repoussée ou non.

    Interrogé sur cette ambiguïté, son entourage a précisé à l'AFP que cela signifiait "de facto", que la réforme de la seconde était "repoussée" à une date ultérieure, confirmant une information du Point.fr.

    Dans son communiqué, le ministre explique vouloir "prolonger les discussions sur le lycée, en abordant sans tabou tous les sujets, qu'il s'agisse de la place des enseignants dans ce futur lycée ou de l'équilibre respectif des disciplines".

    "Ces équilibres devront faire l'objet d'une large concertation avec les représentants des enseignants, des lycéens et des familles", poursuit-il.

     


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  • Education nationale : manifestations tous azimuts
    -FRANCE INFO -


    Des manifestations, sans appel à la grève, sont prévues sur l’ensemble du territoire. Objectif : que le gouvernement investisse dans l’éducation.
    Enseignants, lycéens et parents d’élèves appellent à une journée de manifestations partout en France aujourd’hui. Des dizaines de rassemblements, d’actions et de manifestations se dérouleront sur l’ensemble du territoire pour demander au gouvernement "d’investir dans l’éducation".

    Les principales fédérations de l’Education, des organisations lycéennes et étudiantes, les parents de la FCPE, ou encore des mouvements pédagogiques sont à l’origine de cette mobilisation sans appel à la grève. Ils entendent protester contre les suppressions de postes d’enseignants, 13.500 prévus en 2009.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    http://www.france-info.com/spip.php?article223588&theme=43&sous_theme=9#

    À dix jours des vacances de Noël, le secteur de l’Education est touché par de multiples mouvements. A Brest, des affrontements entre jeunes et forces de l’ordre ont éclaté hier en marge d’une manifestation qui a réuni 200 lycéens. Quatre personnes ont été interpellées. Des "débordements" ont également été signalés à Nantes à l’occasion de manifestations similaires.

    Dans d’autres régions de l’Ouest, le mouvement de blocage des lycées, démarré lundi, a pris de l’ampleur hier.

    Dans un communiqué, l’organisation lycéenne Fidl annonce qu’elle "appellera à des dates de manifestations nationales en janvier".

    Le mouvement de contestation touche également les étudiants et personnels d’Instituts universitaires de technologie (IUT). Ils ont manifesté hier un peu partout en France pour défendre leurs moyens dans le cadre de l’application de la loi sur l’autonomie des universités (LRU).



    Article : Réforme Darcos : quand les profs font de la résistance

    Article : Des "marches funèbres" pour dénoncer la casse des IUT

    Article : Education nationale : le mouvement se développe



     


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  • Une grève massive est attendue dans l'Education nationale

    NOUVELOBS.COM | 20.11.2008 | 09:44

    Les enseignants de la maternelle à l'université, du public et du privé, sont appelés à protester contre les réformes éducatives du gouvernement et les suppressions de postes. Des manifestations sont prévues dans toute la France. De nombreuses villes refusent d'appliquer le service minimum d'accueil dans les écoles.

    Les enseignants sont appelés à protester contre les réformes éducatives du gouvernement (Reuters)

    Les enseignants sont appelés à protester contre les réformes éducatives du gouvernement (Reuters)

    Les syndicats de l'Education, en ordre de bataille, appellent les enseignants de la maternelle à l'université, du public et du privé à une grève nationale jeudi 20 novembre contre les réformes éducatives du gouvernement et les suppressions de postes, avec une centaine de manifestations dans toute la France. Et alors que le mouvement s'annonce fortement suivi, de nombreuses villes refusent d'appliquer le service minimum d'accueil dans les écoles. Selon le ministère de l'Education, ces villes ne représentent que "3 à 17% au maximum de toutes les communes de chaque académie".
    Les syndicats, qui ont choisi la Journée internationale des droits de l'Enfant pour leur mobilisation, dénoncent les suppressions de postes (11.200 cette années, 13.500 annoncées en 2009), les restrictions budgétaires ou encore "l'empilement des réformes sans concertation".
    Jeudi, dans les écoles, le SNUIpp, principal syndicat des instituteurs, annonce une moyenne nationale de 69% de grévistes avec des pointes de 80% à 85% dans une vingtaine de départements. Dans les collèges et les lycées, les syndicats s'attendent à un mouvement de moindre ampleur, même si la grève sera là aussi "largement majoritaire" selon l'UNSA-Education.

    "pronostics extrêmes"


    Outre la grève, des manifestations sont annoncées dans toute la France, notamment à Marseille, Amiens, Clermont-Ferrand, Dijon, Grenoble, Montpellier, Nancy, Nantes, Nice, Orléans, La Rochelle, Brest, Rennes, Strasbourg ou encore Toulouse.
    A Paris, un cortège unitaire partira des abords du Jardin du Luxembourg, jeudi vers 14h, pour un défilé jusqu'au ministère de l'Education nationale.
    "On a des pronostics extrêmement forts sur ce mouvement. Dans le primaire, il faut remonter plusieurs années en arrière pour retrouver une telle mobilisation. Dans les lycées et collèges, on sent que le caractère unitaire de la journée va être extrêmement mobilisateur", a déclaré mercredi à l'Associated Press le secrétaire général de la Fédération syndicale unitaire (FSU) Gérard Aschieri.

    "la politique de l'autruche"

    "Tout ça va évidemment poser la question des suites, sauf si le ministre répond. Mais jusqu'à présent, il a toujours fait la politique de l'autruche. On attend un geste sur les suppressions de postes et un moratoire sur une certain nombre de réformes", a-t-il ajouté.
    "On espère qu'on n'aura pas, comme c'est le cas depuis trois ou quatre journées d'action, le soir une déclaration à l'emporte-pièce un peu méprisante, ou l'annonce d'une mesure visant à entraver l'action des personnels", a expliqué de son côté le secrétaire général du SGEN-CFDT Thierry Cadart.
    Pour lui, "il est temps de donner un peu de cohérence à la démarche des réformes, avec un agenda clair, et évidemment on attend toujours la fin de cette politique de suppressions de postes, qui, à un moment donné, va empêcher le fonctionnement normal de l'école et l'empêcher de répondre à ses missions".

    Minimisation de la part du gouvernement

    Le secrétaire général de l'UNSA-Education Patrick Gonthier réclame, lui, l'ouverture d'une "négociation très large sur l'avenir du système éducatif" et espère qu'une "grève très largement majoritaire démentira les propos va-t-en-guerre de Xavier Darcos le 19 octobre".
    Cette journée de mobilisation fait en effet suite, un mois après, à la manifestation nationale unitaire à Paris pour la défense du service public d'Education qui avait réuni dans les rues entre 32.000 et 80.000 personnes, selon les sources. Le soir même, le ministre de l'Education avait minimisé la mobilisation et fait savoir qu'il ne reviendrait pas sur la politique engagée.

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